L’arrière-plan du marais avec ses roselières et ses jonchées, ses fermes isolées, borde tout un univers, fort et primitif, lorsque Alan Treval y vient en mission scientifique pour faire des prélèvements sur une population animale de la Nouvelle-Galles du Sud. Mais voici la bête, immense, puissante, à la gueule écumante, aux défenses luisantes, d’une rare beauté avec ses longues soies d’un noir intense et sa large raie blanche. Le récit progresse à grands coups de dialogues et de scènes d’action, toujours diverses, porteuses de combats, de curée, de violence et, pour le contrepoint, une v...
La lance et le sanglier
Article publié dans le n°1099 (16 févr. 2014) de Quinzaines
La bête
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