À ce non révolté qu’exprime un champ lexical d’épave, de décombres, de désordres, de couteaux levés, d’amours perdues ou de rivage ébréché répond un oui qu’exalte, par exemple, « l’épopée de l’oiseau striant la nue », « les sillons / balbutiant sous la cendre et coulant le miel sous l’usure » ou encore « la page / sculpture de chair, d’innocence venant / laver la mort son sarrau sur l’ardoise ».
Au silence du non s’oppose le chant du oui : « le chant, seul recours, étincelle à l’oreille / du labyrinthe, ton congé de clarté...
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