Le Festival s’ouvrait dans la Cour d’honneur avec le fameux roman de Mikhaïl Boulgakov, Le Maître et Marguerite, déjà adapté par de grands metteurs en scène, malgré la difficulté apparente de l’entreprise. Simon McBurney ne la redoutait pas, privilégiant au théâtre « l’acte imaginaire » et soulignant la quasi-solitude du plateau pour son spectacle. Mais « quelques chaises, des caméras et un écran » n’excluent pas la complexité de la mise en scène, depuis les moyens artisanaux appris chez Jacques Lecoq, la marionnette du chat Béhémot manipulée à vue à la façon...
Le Festival d'Avignon : survol d'une décade
Article publié dans le n°1067 (01 sept. 2012) de Quinzaines
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