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Le Festival d'Avignon : survol d'une décade

À la différence de précédentes éditions, Hortense Archambault et Vincent Baudriller ont placé le soixante-sixième Festival d’Avignon, l’avant-dernier qu’il dirige, sous le signe de la littérature. Outre les noms de deux Prix Nobel vivants, s’inscrivaient à la programmation théâtrale du « in » les titres de romans adaptés, de nouvelles pièces créées, d’œuvres du répertoire revisitées. Et s’ajoutait la présence de l’écrivain John Berger, grâce au choix de l’artiste associé, le metteur en scène Simon McBurney.

Le Festival s’ouvrait dans la Cour d’honneur avec le fameux roman de Mikhaïl Boulgakov, Le Maître et Marguerite, déjà adapté par de grands metteurs en scène, malgré la difficulté apparente de l’entreprise. Simon McBurney ne la redoutait pas, privilégiant au théâtre « l’acte imaginaire » et soulignant la quasi-solitude du plateau pour son spectacle. Mais « quelques chaises, des caméras et un écran » n’excluent pas la complexité de la mise en scène, depuis les moyens artisanaux appris chez Jacques Lecoq, la marionnette du chat Béhémot manipulée à vue à la façon...

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