Un célèbre cliché de Man Ray, La Centrale surréaliste en 1924, montre Boiffard entre André Breton et Giorgio de Chirico, jeune homme que parrainent ses aînés et qui fixe avec résolution l’objectif. Il a, avec Paul Éluard et Roger Vitrac, signé la préface du numéro inaugural de La Révolution surréaliste (1er décembre 1924) qui proclame ouvrir « les portes du rêve à tous ceux pour qui la nuit est avare ». En émule zélé, il participe au substantiel florilège sur lequel s’ouvre le numéro, avec quelques rêves conformes à la rhétorique qu’adoptent les autre...
Les facettes d'un photographe
Article publié dans le n°1119 (01 janv. 2015) de Quinzaines
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