Sur le même sujet

A lire aussi

Livre du même auteur

Dr Elvis et Mr White

Il faut se fier à cette épigraphe : « Si peu de nous est en nous qu’il faut bien que le reste soit quelque part » (Crommelynck). Le dernier roman de Caroline De Mulder (1) pose au lecteur l’énigme de deux existences dont les épisodes sont relatés en alternance — ou celle d’une seule et même existence qui se partage en deux séquences entrelacées : d’une part, Elvis Presley, « The King », initiateur du rock and roll, qui atteint dans les années 1960 les sommets de la gloire ; d’autre part, un vieux fou, John White, qui embauche Yvonne, narratrice de sa dérive et de son naufrage. Deux destinées apparemment étrangères l’une à l’autre.
Caroline De Mulder
Bye Bye Elvis

En premier lieu, la carrière d’Elvis Presley. Au début du roman, dans sa splendide résidence de Graceland, son cadavre costumé de blanc et cravaté d’argent pousse à leur paroxysme les lamentations des dizaines de milliers de fans contenus par cent cinquante policiers que renforce un contingent de la Garde nationale. Dans le ciel tournent deux hélicoptères, sur le terre-plein des tonnes de fleurs commencent à pourrir. Le dernier chapitre, dans un étonnant « finale » rétroactif d’opéra, déplore un autre deuil, celui de Jesse Caron, le frère d’Elvis Presley, son jumeau mort-né qui...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi