En premier lieu, la carrière d’Elvis Presley. Au début du roman, dans sa splendide résidence de Graceland, son cadavre costumé de blanc et cravaté d’argent pousse à leur paroxysme les lamentations des dizaines de milliers de fans contenus par cent cinquante policiers que renforce un contingent de la Garde nationale. Dans le ciel tournent deux hélicoptères, sur le terre-plein des tonnes de fleurs commencent à pourrir. Le dernier chapitre, dans un étonnant « finale » rétroactif d’opéra, déplore un autre deuil, celui de Jesse Caron, le frère d’Elvis Presley, son jumeau mort-né qui...
Dr Elvis et Mr White
Article publié dans le n°1114 (16 oct. 2014) de Quinzaines
Bye Bye Elvis
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)