De prime abord, dès la quatrième de couverture et l’« Ouverture » de son recueil, Fabienne Raphoz, livre un fort long et bel échantillon de leurs divagations : dviga avis ornis ave àe avicelus aucellus oisel aucèl aucéu aceddu ausèth ocell ocellu oxellu uccello utschi usél lindu lind lod’de ibon, etc. Parmi les innombrables linguistes « fantastiques », combien se sont essayé à déchiffrer, comme elle le fait, leurs langages de toutes plumes et couleurs, à les assembler comme s’ils émanaient d’une seule partition qu’orchestrerait un Chef suprême ? Les...
Poésie en volière
Article publié dans le n°1052 (01 janv. 2012) de Quinzaines
Jeux d'oiseau dans un ciel vide. Augures
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