Malgré de nombreuses demandes (y compris une lettre au maréchal Pétain), cette immigrée russe, cet écrivain français, n’obtint jamais la nationalité française.
Que de gares petites ou grandes, que de paysages doux ou désolés, franchit ce très long train, secouant, mélangeant bon gré mal gré une population très riche ou misérable qui lutte à la vie à la mort pour accéder d’une basse classe sociale à des sommets illusoires et s’y maintenir. L’énergie quasi sauvage de ces récits n’a jamais recours à l’emphase, ni même à l’éloquence.
On n’entre pas dans cette œuvre, aujourd’h...
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