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Les petites gens de Brooklyn

Elle s’appelle Marie, est catholique, appartient à une modeste famille d’immigrés irlandais, habite le Brooklyn de l’entre-deux-guerres : ce n’est pas une héroïne, mais une femme toute simple qui, par le pouvoir des souvenirs et la grâce de l’écriture, dessine la fresque émouvante d’une vie et d’une communauté.

Marie occupe un poste d’observation privilégié : « J’étais sur le perron de ma propre maison, où j’attendais mon père. » De là elle voit tout, ne néglige rien du précieux quotidien : la fraîcheur de la pierre sous ses cuisses, l’odeur du pain frais, les moineaux couleur de cendre, les sœurs de la Charité qui réussissent à marcher « sans se prendre les pieds dans leurs longues robes » et bien d’autres choses encore. Malgré ses yeux « déficients et mal formés », après avoir émergé de « l’obscurité des origines », elle voit le monde avec une éto...

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