Chère Marceline,
Je ne devrais pas vous appeler ainsi, mais les quelques rencontres que nous avons eues à l’automne 2016, au moment où nous préparions le Nouveau Colloque des intellectuels juifs de langue française[1], ont laissé en moi l’empreinte indélébile de votre immense et incomparable générosité. Je peux exactement dater le moment précis où j’ai fait votre connaissance, c’est écrit dans mon agenda. J’ai la manie de conserver tous mes agendas, histoire de pouvoir feuilleter un jour le passé, de me remémorer les ...
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