Lorsqu’il est question de la relation entre la prise de Constantinople et le mouvement de Renaissance, la tendance habituelle est d’évoquer une sorte de fuite éperdue des humanistes grecs devant l’envahisseur, emportant dans leurs valises les précieux manuscrits qu’il ne fallait pas laisser tomber aux mains des barbares au sabre courbe. Sans doute faut-il disposer du recul du temps pour voir dans la grande puissance qui déployait sa force à l’est de l’Europe la continuatrice d’un Empire byzantin qu’elle régénéra, certes sous une autre religion. Encore que les souverains de l’époque n’aie...
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Article publié dans le n°1050 (01 déc. 2011) de Quinzaines
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