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Manhattan Transfer

Les deux personnages que désigne le titre de ce livre ne sont pas en quête d’auteurs : ceux-ci sont multiples, et Laurence Kahn, psychanalyste dont ce n’est pas le premier ouvrage, nous les fait connaître pour mesurer ce qu’il faut bien appeler leur tentative, pas toujours vaine hélas, d’édulcorer la psychanalyse sans en abandonner le nom.
Laurence Kahn
Le psychanalyste apathique et le patient postmoderne

Ernest Jones, souvent décrié – non sans raisons – pour son parcours dans l’histoire de la psychanalyse, fut tout de même le premier à prôner la résistance face aux courants qui traversaient le mouvement psychanalytique et dont l’objectif, plus ou moins pensé, était que la découverte freudienne ne heurte pas, ou plus, le grand public. À l’orée de ce livre rigoureusement argumenté, Laurence Kahn observe que la situation de la psychanalyse aujourd’hui n’a pas tellement changé et que la mise en avant, au titre du postmodernisme, de l’affect et de la sensibilité à même de protéger la cure ana...

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