Ces deux ouvrages, qui parurent quelques semaines avant la disparition de « J.-B. », attestent chacun à sa manière de son souci d’articuler la pensée psychanalytique aux champs de connaissance et d’expression voisins mais, comme il nous y avait habitués, c’est la littérature, l’écriture qui occupe, là encore, la place royale, l’écriture dont on peut affirmer sans grand risque de se tromper qu’il l’affectionnait au moins autant que son fauteuil d’analyste.
Freud avec les écrivains est un ensemble d’études consacrées, non pas à quelque application de la psychanal...
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