A lire aussi

Nos collaborateurs publient. À longueur d'ombre

« Malpensa », le dernier livre de Louise L. Lambrichs, tisse une trame d’incertitude narrative et subjective autour d’un personnage énigmatique : c’est une méditation sur le langage.

Il convient de saluer le dernier roman de Louise L. Lambrichs, Malpensa, publié à La Rumeur libre, et, au-delà, toute l’entreprise de l’écrivain, qui s’est fixé pour tâche d’innover sans cesse, de ne jamais répéter ses fictions, d’explorer des territoires littéraires et intimes toujours inconnus. Il y faut de l’audace ; ce n’est pas si commun, surtout en les temps qui courent. On avait apprécié déjà l’originalité du dispositif et l’espièglerie de ton de Quelques lettres d’elle, paru l’an dernier chez le même éditeur. Ici, Louise L. Lambrichs s’amuse à proposer un récit ...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi