Les deux livres paraissent simultanément et le moins que l’on puisse en dire c’est bien qu’en dépit de leur difficulté, liée pour une part à la subtilité des raisonnements exposés, au constant souci de précision et au foisonnement des notes et des références mais aussi à une lisibilité que ces exigences rendent souvent ardue, ils installent leur auteur au rang de penseur aussi intraitable que dérangeant.
De Bertrand Ogilvie, on a en mémoire, psychanalyste ou pas, son petit livre sur Lacan et le sujet, paru aux Puf en 1987, livre réédité (1) et traduit en une bonne dizaine de lang...
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