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Petites déambulations philosophiques, 13. Deux destins de philosophes

Ce qui importe, dans mes petites déambulations, péripatéticiennes en cela, c’est moins le chemin que le lieu, et rares sont les lieux qui ont (pour moi) la valeur affective et intellectuelle de celui-ci. Lieu d’une dramatique césure pour toute une génération (de philosophes…), sidérée par un fait divers qui, pour certains, a sonné le glas d’une manière impérieuse de philosopher, et qui rappelle à tous que la rationalité totalisante de Hegel n’est parfois pas si loin de la folie de Hölderlin.

2. Le marxiste, Louis Althusser


« Cette domination par la pensée représente pour Hegel la conjuration d’un destin que l’histoire nous montre vécu par Hölderlin, son frère d’études, la conjuration de l’extrême solitude d’une pensée que la folie guette comme son extrémité et sa tentation naturelles. » Althusser, mémoire sur Hegel, 1947, dactylographié par Hélène Rytmann


Rue d’Ulm, dans le cinquième arrondissement de Paris, le 16 octobre 1980 : c’est dans le bâtiment qui abrita jadis le laboratoire de Pasteur (une plaque le rappelle),...

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