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Pour une politique des formes

Pourquoi couper le vers ? Comment faire du continu (l’écrit) avec du discontinu (l’expérience) ? Quand le doigt montre la lune, que regarder ? Quelle est la consistance de la matière textuelle ? Que doit le cinéma expérimental à la prosodie ? Autant de questions abordées dans ces brefs discours1, pétillants d’intelligence et de culture, où l’on croise un rossignol qui fait teuf-teuf, un panorama de la poésie après 1970, la délurée Suzanne d’Anne Portugal, Blanchot lisant James, Tati refaisant le monde, quelques figures géométriques de Sol LeWitt, des monstres, des chouettes stylisées sur les murs de grottes préhistoriques…

Au-delà de ces thématiques, l’unité de l’ouvrage réside dans l’examen de quelques exemples d’écritures en mutation et en marge des grandes formes tutélaires. L’enjeu ? Il est esthétique, politique et – sous des allures parfois rapides, elliptiques, amusées, modestes et un air de ne pas y toucher – philosophique, puisqu’il s’agit d’ouvrir de nouvelles voies à l’ontologie. 


Les formes qui intéressent Alferi sont presque toutes hybrides, transgénériques. S’il se méfie de ceux qui, en notre époque de « regrattage », font, à grand tapage, « du nouveau à tout prix », son désir...

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