Sur le même sujet

Livre du même auteur

Se fondre dans le poème

Les éditions Corti publient un recueil de l’Américain Peter Gizzi, qui n’avait jamais été traduit en français. "L’Externationale", paru en anglais en 2007, réunit une trentaine de poèmes qui attestent de la vitalité de la poésie américaine contemporaine. 

L’Externationale, c’est avant tout une affaire de perception. Le titre suggère une extériorité, une attitude de spectateur, et c’est effectivement une poésie très visuelle, où le regard traverse les fenêtres, le plus souvent de l’extérieur vers l’intérieur. L’image du spectateur convient d’autant mieux que les références à l’art sont multiples : le premier poème, « Une panique qui peut encore me tomber dessus », emprunte son titre à une œuvre de Jess Collins, elle-même inspirée par une citation de Robert Duncan. Un autre, « Vincent, nostalgique du pays des im...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi