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Le spectacle Affabulazione, actuellement présenté dans la grande salle de la Colline, marque les retrouvailles de Stanislas Nordey avec l’œuvre dramatique de Pier Paolo Pasolini. Mais il pâtit de l’écart entre l’évolution du metteur en scène et la permanence du jeu chez l’interprète, dans le rôle du protagoniste.

Pier Paolo Pasolini
Affabulazione
Mise en scène de Stanislas Nordey
Théâtre de la Colline (grande salle)
Jusqu’au 6 juin

Encore élève au CNSAD (Conservatoire national supérieur d’art dramatique), Stanislas Nordey découvre par hasard Bête de style, la dernière pièce de Pasolini, sans cesse remaniée, précédée d’une diatribe contre le théâtre italien d’alors. Il évoque la révélation de cette langue comme une « expérience inédite et fondatrice » (1) ; il monte le texte comme travail de fin d’année, puis une seconde fois à son entrée au TGP (Théâtre Gérard Philipe) comme artiste associé en 1991-1992. Les deux saisons suivantes, il poursuit son exploration de cette œuvre dramatiq...

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