Tout commence par la brève prise en photo de la jolie Molly, six ans, pour un spot de réclame et l’on enchaîne avec le bureau de John Wheelright, diplômé d’histoire de l’art de Berkeley recruté par une agence de publicité. Deux vues des officines de New York dans les années 1980-90, du monde du faire croire et du faire vendre, élaborant images et messages de manipulation. Le très riche patron de John, Mal Osbourne – stimulant jeune homme en colère et gourou du Bien et du Mal –, est aussi collectionneur, d’où ces visites étranges et drôles d’ateliers d’artistes new-yorkais où l’on joue de...
Stop Pub : mensonges et messages
Article publié dans le n°1068 (16 sept. 2012) de Quinzaines
La fabrique des illusions
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