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S’appuyant sur le grand succès du roman "Les Privilèges", tout crépitant des étincelles de l’argent roi, Plon fait paraître "La Fabrique des illusions" où Jonathan Dee explore le bouillonnement culturel de New York à la toute fin du XXe siècle. Publicité, images, musiques, ateliers d’artistes, tout fait feu. Mais dans cette surenchère cynique de l’effet et de l’ersatz, où se niche la création ?
Jonathan Dee
La fabrique des illusions

Tout commence par la brève prise en photo de la jolie Molly, six ans, pour un spot de réclame et l’on enchaîne avec le bureau de John Wheelright, diplômé d’histoire de l’art de Berkeley recruté par une agence de publicité. Deux vues des officines de New York dans les années 1980-90, du monde du faire croire et du faire vendre, élaborant images et messages de manipulation. Le très riche patron de John, Mal Osbourne – stimulant jeune homme en colère et gourou du Bien et du Mal –, est aussi collectionneur, d’où ces visites étranges et drôles d’ateliers d’artistes new-yorkais où l’on joue de...

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