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Tous les films sont des Aliens

Certains auteurs, pour évoquer leur vie ou leur parcours, adoptent le prisme des objets (François Bon, Autobiographie des objets), de certains thèmes fondateurs (Michel Leiris, L’Âge d’homme), de mots importants (Anne Sylvestre, Coquelicot et autres mots que j’aime) ou d’amants sans importance (Catherine Millet) ; Olivia Rosenthal, elle, choisit l’angle cinématographique. Après Ils ne sont pour rien dans mes larmes, écrit à partir d’entretiens (sur les films qui ont changé leur vie) auxquels se sont prêtés des habitants de Saint-Ouen, elle se confronte aujourd’hui à trois expériences cinématographiques de son enfance (1).  
Olivia Rosenthal
Toutes les femmes sont des aliens

Il faut pouvoir regarder quelque chose « jusqu’à la fin avant d’en parler », nous avertit l’auteure au commencement du livre. Comme ce n’est guère possible avec sa propre vie, elle va raconter des films qu’elle a vus et surtout revus jusqu’à leur terme, parce qu’« un film qu’on aime et qu’on raconte ça rapproche de soi ». Nous voici prévenus : ceci n’est pas une autobiographie (même si le « je » de la narratrice éclaire un peu la figure de l’auteure) ; ceci n’est pas un livre sur le cinéma (même s’il va être question et successivement, en trois chapitres indépendants, d...

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