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Un texte de première main

On pourrait dire de cette correspondance entre Kuhn et Maldiney ce que le psychiatre lui-même écrit au philosophe, le 10 décembre 1985, lorsqu’il découvre celle de Schiller et Gœthe : « Les 1 000 pages de cette correspondance sont une source infinie des vues les plus essentielles. »
Henri Maldiney
Roland Kuhn
Rencontre. Begegnung. Au péril d’exister (1953-2004)

Il n’est pas ici question d’un millier de pages, mais d’un ouvrage comprenant 390 lettres richement annotées par les éditeurs. La première et la dernière sont de Kuhn. La première, la seule rédigée à l’intention de Maldiney en français, est datée du 16 mai 1953. Elle lui est adressée afin de le remercier de la conférence qu’il prononça, devant Ludwig Binswanger, le 28 mars 1953 à la clinique de Münsterlingen. Le thème retenu était « Les conditions de l’abstraction dans l’art contemporain » et, dans sa lettre, Kuhn lui disait à quel point tous les auditeurs avaient été réjouis et impressi...

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