L’articulation en roman choral fait alterner ce que l’on imagine de ce sport de fiction selon que l’on tient ou non la gâchette : préparation des cartes et des matériels, entraînement, marche vers l’inconnu, recherche de traces, du meilleur refuge, lentes montées des tensions, des peurs, battements de cœur… Puis la pause et l’observation : quand on reprend son souffle, la beauté du monde n’est-elle qu’un simple émerveillement, un antidote éphémère à cette absurdité ?
Oui, bien entendu, en grand metteur en scène, Lucas Belvaux sait décrire les décors… mais aussi les méandres de ce...
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