Le critique peine d’abord à croire qu’un primo-romancier est à l’origine du livre. Il se trouve tellement de « métier » en ces pages, du vocabulaire riche jusqu’au maniement de figures de style variées et à une profusion de réflexions subtiles, que le doute est permis. Le critique vérifie bien sûr, puisqu’il est là pour ça, mais c’est pour constater qu’aucun autre écrivain d’Orléans ou de la région circonvoisine, personnage qui aurait blanchi sous le harnais en publiant maints ouvrages, ne nous a menés en bateau : Jonathan Baranger est tangible, dispose d’une existence non seulement biol...
Astrakan et boutons de manchette
Article publié dans le n°1199 (01 sept. 2018) de Quinzaines
Chokolov City
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)