A lire aussi

Livre du même auteur

Astrakan et boutons de manchette

On est en droit d’exprimer sa surprise : les premiers romans estampillés « rentrée littéraire » n’apportant pas souvent la joie au cœur du lecteur ni même le penser aux deux hémisphères qui le gouvernent, aborder une œuvre aboutie qui porte toutes les marques de la maturité reste une expérience exceptionnelle. « Chokolov City » vous y invite.

Le critique peine d’abord à croire qu’un primo-romancier est à l’origine du livre. Il se trouve tellement de « métier » en ces pages, du vocabulaire riche jusqu’au maniement de figures de style variées et à une profusion de réflexions subtiles, que le doute est permis. Le critique vérifie bien sûr, puisqu’il est là pour ça, mais c’est pour constater qu’aucun autre écrivain d’Orléans ou de la région circonvoisine, personnage qui aurait blanchi sous le harnais en publiant maints ouvrages, ne nous a menés en bateau : Jonathan Baranger est tangible, dispose d’une existence non seulement biol...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine