Au commencement étaient les lavandières, ou plutôt La Lettre, un tableau de Goya aussi appelé Les Jeunes (par opposition au célèbre Le Temps ou Les Vieilles). On y voit au premier plan deux femmes, en promenade, oisives, et à l’arrière-plan des lavandières en pleine lessive. Les Enfances Chino commence au lavoir, un milieu où s’épanouit sans accroc le verbe truculent de Prigent : « Ça va, la buée ? Ça va, ça mijote. Tu fais quoi ici à traîner les guêtres à mollo l’allure ? (demande la Marie, complétée Dondaine à cause d...
Vadrouilles de l'enfance
Article publié dans le n°1089 (01 août 2013) de Quinzaines
Les enfances Chino
(P.O.L.)
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