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A la Colline : double visage de la dramaturgie contemporaine

Les deux spectacles actuellement programmés à la Colline, Je disparais d’Arne Lygre par Stéphane Braunschweig et Ex vivo in vitro de Jean-François Peyret et Alain Prochiantz, ont beau relever du même extrême contemporain, leur confrontation à un monde déstabilisé, leur interrogation sur l’identité, leur rupture avec une continuité dramaturgique résonnent très différemment.

C’est une expérience assez rare dans l’activité critique de tout découvrir d’un spectacle à la représentation. L’auteur norvégien Arne Lygre (né en 1968) est connu en France depuis 2007 grâce à la mise en scène, à l’Odéon-Ateliers Berthier, de L’Homme sans but par Claude Régy, toujours passeur d’écritures singulières. Mais Je disparais, sa pièce la plus récente, écrite en 2011, a été publiée, dans la traduction d’Éloi Recoing, par L’Arche le jour même où elle était créée au Théâtre de la Colline. Elle est éditée, précédée de cette précision : « Il y a trois ni...

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