D'une traite

La qualité d’un livre ne se mesure pas au nombre de ses pages. Témoins ce long poème d’Amelia Rosselli et ce récit en épisodes brefs de Fabienne Swiatly, qui permettent en outre de relativiser le clivage habituel entre prose et poésie.
Amelia Rosselli
La libellule (Ypsilon)
Fabienne Swiatly
La fulgurance du geste (L'Amourier)

Les éditions Ypsilon publient, après Variations de guerre (QL n° 1 070), une autre œuvre d’Amelia Rosselli. Il semble qu’elle ait voulu voir dans la « libellule » du titre un diminutif de « libelle » autant qu’un symbole de liberté ; l’image est aussi adaptée à sa poésie à la fois légère et féroce, équilibrée et insaisissable.


Malgré le foisonnement des images inattendues qui caractérisent sa poésie, Amelia Rosselli teste ici, comme le signale Marie Fabre dans la postface, une nouvelle métrique, avec des vers de longueur typographique similaire&nb...

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