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Voici un « cas d’école ». Dans la vie d’un lecteur, il arrive parfois que l’on ait affaire à des livres très ambitieux, très épais aussi, qui supposent de longues heures de lecture. Et la question souvent se pose à leur propos, lors qu’on les hume, les prend, les reprend, comme pour tenter d’apprivoiser les six cents ou sept cents pages qui nous attendent, si ce gros volume est justifié, si la qualité du texte, du propos, leur ambition, justifient tout le temps que l’on s’apprête à leur accorder. C’est ce qui nous est arrivé avec Karl Ove Knausgaard, phénoménal Norvégien qui a entrepris ...

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