Il y a un an, ou un an et demi, j’ai écrit dans le Corriere della Sera un long article consacré au livre d’Antonio Muñoz Molina, Fenêtres de Manhattan. Cet article, comme beaucoup d’autres, a suscité une série de lettres. J’ai reçu des demandes de précisions, des éloges, des critiques, des remerciements, des contestations, etc. Heureusement, les lettres d’insultes sont réservées aux articles disons éthico-politiques. Dans l’une de ces lettres, le lecteur, tout en me remerciant et en louant aimablement l’article, me faisait remarquer, sur un ton de léger reproche, qu’ap...
En littérature, il n'est jamais trop tard
Article publié dans le n°1105 (16 mai 2014) de Quinzaines
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