Pour moi, mais je crois aussi pour bon nombre de ses lecteurs dans d’autres pays, La Quinzaine littéraire est depuis bien des années, ce qu’était l’agora pour l’Athènes de l’Antiquité, la place où les poètes et les philosophes, en bavardant avec simplicité et en se mêlant aux gens dans leur vie quotidienne, découvraient et disaient de manière accessible à tous les vérités profondes de la vie, de la poésie, de la cohabitation civile, contribuant ainsi, sans trop le faire voir, à améliorer l’existence de chacun. Attentive avec son flair très fin à saisir les transformations du mon...
La Quinzaine, notre agora
Article publié dans le n°1000 (01 oct. 2009) de Quinzaines
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