Takuhi recopie les recettes de sa grand-mère, femme de tavernier, et de sa mère (plusieurs générations vivent sous le même toit). Elle participe à des concours de savoir-faire, joutes de dames où les hommes ont parfois leur mot à dire, car ils sont les cordons-bleus incontestés de certains plats traditionnels.
Les mets sortant de la cuisine invitent à des tables de raki (pour la palabre), à des tables de vie (quotidiennes), des tables d’amour (de mariage), des tables de morts (à la mémoire des ancêtres). Y participe une parentèle affectueuse et tumultueuse que la petite fille...
Feuilletés d'amour de Dame Takuhi
Article publié dans le n°1077 (01 févr. 2013) de Quinzaines
Mémoires culinaires du Bosphore
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