À cause du refus du maire d’Alger d’autoriser l’usage d’un local de la mairie en ces temps troublés, l’événement a finalement lieu au Cercle du Progrès, salle appartenant à la communauté musulmane, située près de la casbah, avec un service d’ordre entièrement assuré par les amis arabes. Camus peut alors lire devant un large public, composé de représentants des deux communautés et des Églises, son texte rédigé deux jours avant et approuvé par le comité. Dehors, une foule d’ultras de l’Algérie française l’injurie aux cris de « Camus au poteau ! Mendès au poteau ! Vive l’Algérie frança...
L’appel de Camus contre la violence
Article publié dans le n°1129 (01 juin 2015) de Quinzaines
Camus et l'impossible trêve civile. Suivi d'une correspondance avec Amar Ouzegane
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