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L'Orient, loin des « charmes dix-neuviémistes »

« Sans Nizami, je ne serais jamais allé à Gandja ». L’auteur du Grand Poème de l’Iran ne serait sans doute pas allé à Tus sans Ferdowsi, il ne serait pas allé non plus à Nichapour sans Omar Khayyam et sans Attar, pas plus qu’à Shiraz sans Hafez et Saadi. Les poètes de cet âge d’or (Xe-XIVe siècle) ont décidé de ses pérégrinations sur les terres de l’ancienne Perse, et la matière du livre se tisse de leurs images, de leur pensée.
Jean-Pierre Ferrini
Le grand poème de l'Iran (Le Temps qu'il fait)
René Guitton
Dictionnaire amoureux de l'Orient (Plon)

On retrouve ainsi la musique d’un ouvrage précédent de Jean-Pierre Ferrini[1], où le voyage à Ferrare progressait avec le Tasse et Bassani.


« Qui veut comprendre l’art des poèmes
Doit se rendre au pays de la poésie. »


L’exergue de Goethe, emprunté au Divan d’Orient et d’Occident, publié en 1819, pourrait aussi ouvrir le Dictionnaire amoureux de l’Orient, qui rappelle, dans l’article « Divan », le rayonnement du lyrisme persan dans l’imaginaire européen. C’est également,...

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