Le propos liminaire, intitulé Devenir d’arbre, est celui d’un poète phénix qui renaît chaque matin à la lumière :
« C’est tous les jours cette morsure au cœur
Du temps et de la mort venus avec le soleil »
L’invitation est parfaite pour le lecteur attaché à la joie poétique et à son hôte, le paysage adjuvant. Déjà, une chute remarquable lui est offerte :
« On entre dans un devenir d’arbre. »
Cela juste avant que lui soit proposé un titre de choix, prometteur d’un tra...
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