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Le livre de l’essayiste canadienne Isabelle Daunais part d’une question toute simple : comment se fait-il qu’une littérature des marges comme la littérature québécoise reste peu lue et peu connue en dehors de son espace de production, qu’elle n’ait pas accès à ce qu’on appelle avec Milan Kundera le grand contexte de la littérature mondiale ? Qu’est-ce qui fait l’isolement d’une culture, d’une langue, d’un pays ?
Isabelle Daunais
Le Roman sans aventure

Lorsque, pour des raisons affectives ou professionnelles, soit qu’on ait créé des liens personnels avec ce pays, qu’on y ait vécu, qu’on y soit né, qu’on en ait fait une spécialité universitaire, on est amené à découvrir et à connaître la littérature québécoise, on ne peut qu’exalter son foisonnement et sa beauté : les noms de Gabrielle Roy – à qui François Ricard, également spécialiste de Kundera (pourtant à des années-lumière de la première pour ce qui est de la reconnaissance mondiale) vient de consacrer un très bel album (1) –, d’Hubert Aquin, de Réjean Ducharme, de Monique Prou...

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