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« Je ne suis pas un fétichiste de la bibliophilie. Ce qui m’intéresse, en revanche, c’est de voir comment utiliser au mieux les possibilités de cet objet », confiait Mark Z. Danielewski il y a quelques années (1). Cet objet, c’est le livre lui-même, celui qu’on a dans les mains et qu’on garde dans la tête, celui que l’écrivain américain né en 1966 fabrique d’abord, raconte-t-il, sur le panneau en bois de son bureau.
Mark Z. Danielewski
La maison des feuilles (Denoël)
Mark Z. Danielewski
L'épée des cinquante ans (Denoël)

Le dernier, c’était O Révolutions (Denoël, 2007). Un nouvel objet-livre a été produit depuis : The Fifty Year Sword, paru aux Pays-Bas en 2005 à peu d’exemplaires, puis aux États-Unis l’an passé et aujourd’hui traduit en français par Héloïse Esquié. Un livre hybride et total, dont le lecteur est appelé en permanence à rechercher les « possibilités ». Et qui redonne par là même existence et valeur à la matérialité du texte littéraire, tout en réactualisant l’expérience propre qu’elle procure.


Apparemment, Danielewski raconte une simple fête d’Hallo...

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