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Le double effet Glassco

 1928, les rails du métro mènent John Glassco au paradis. Montparnasse est en fleurs et il lance ses dés, à dix-huit ans, aux quatre coins du boulevard. Il rédige sur le vif des souvenirs teintés d’autodérision, première ébauche de Memoirs of Montparnasse en 1970.
John Glassco
Mémoires de Montparnasse

En route, donc, pour de fructueuses rencontres, du cénacle de Sylvia Beach, fondatrice de Shakespeare and Company au cœur de chauffe du surréalisme. Une moisson providentielle : Djuna Barnes, Kay Boyle, Alfred Douglas, Peggy Guggenheim, Frank Harris, Ernest Hemingway, James Joyce, Ford Madox, Robert McAlmon, Gertrude Stein, Laurence Vail, mais aussi André Breton, Robert Desnos, Foujita, Man Ray, Tristan Tzara. Il les évoque, donc, en toute connaissance de cause. Mais, pour Stephen Scobie (The Mirror on the Brothel Wall), Glassco joue avec « les paradoxes de la véracité...

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