Un beau jour, cet emblème accablant et prestigieux de l’identité grecque a disparu : quelqu’un l’a fait sauter. On retrouve bientôt le coupable ; arrêté, interrogé, il sera livré à un peloton d’exécution. Voilà toute la matière du « roman » de Chryssopoulos (sur l’édition originale figure un mot, nouvèla, qui désigne plus précisément un récit de longueur intermédiaire entre la nouvelle proprement dite et le roman). Est-on dans la satire ? Le fantastique ? La politique-fiction ? Un peu de tout cela, et autre chose. Deux traits frappent d’emblée ...
Le Parthénon comme métaphore
Article publié dans le n°1069 (01 oct. 2012) de Quinzaines
La destruction du Parthénon
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