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Le roman-monde de Dominique Gonzalez-Foerster

Depuis le milieu des années 1980, Dominique Gonzalez-Foerster (DGF) élabore une œuvre palimpseste où se télescopent des références constantes au cinéma, à la littérature et à l’architecture. Déjouant la chronologie de la rétrospective traditionnelle, l’exposition qui lui est consacrée au Centre Pompidou embarque le spectateur dans une vaste anamnèse aux allures de voyage imaginaire.

EXPOSITION

DOMINIQUE GONZALEZ-FOERSTER
1887-2058
Centre Pompidou
23 septembre 2015-1er février 2016

L’exposition s’ouvre comme un livre. Et c’est à l’écrivain espagnol Enrique Vila-Matas qu’en revient l’épigraphe. En lieu et place de l’habituel texte de salle inaugural, exercice stylistique de neuf cents mots censé résumer la carrière d’un artiste et présenter une grille de lecture de ce qui nous attend, une citation de Marienbad électrique accueille le visiteur. Il y est question d’une lettre envoyée par Rimbaud, alors en Éthiopie, dans laquelle il écrit à sa mère : « et à la prochaine je pourrai exposer peut-être les produits de ce pays et, peut-être m’exposer moi-même, ...

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