Dario Fo reste fidèle à lui-même, à son engagement militant, que ses performances d’acteur parfois occultent. Déjà, à propos de la première venue en France de Mystero Buffo en 1974, Bernard Dort soulignait « la richesse et le pouvoir corrosif de ce spectacle qui ne se réduisait pas à l’exhibition personnelle d’un grand virtuose » (1). Dans des entretiens lors de son quatre-vingtième anniversaire, celui qui se veut « artiste au service du peuple » et non « bouffon de cour » réaffirmait : « Je n’ai jamais rien écrit dans le seul but de divertir, j’ai toujours essayé d’introduire dans ...
Mystère bouffe et fabulages
Article publié dans le n°1014 (01 mai 2010) de Quinzaines
                                                Mystère bouffe et fabulages
                                                                                                (Salle Richelieu)
                                                
                                                                                        
                                    
                                                Alice et cetera
                                                                                                (Théâtre du Rond-Point)
                                                
                                                                                        
                                    
 
                 
        
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