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Parole vers un absent

 Alexis Gloaguen est poète. Et je pense que même si la page de la poésie versifiée, il l’a tournée depuis longtemps, les proses qui se sont échelonnées depuis Traques passagères, paru en 1989 (1), jusqu’à ces Veuves de verre, ne manifestent rien d’autre que la « continuation » de cette poésie. Mais par d’autres moyens.
Alexis Gloaguen
Les veuves de verre

Reste qu’elle fut et qu’elle demeure par excellence la « primitive passion » et la « jalouse pratique », son « feu secret » aurait dit l’alchimie. La cicatrice rimbaldienne est toujours là, vive encore, à fleur de peau et du « j’ai saccagé la poésie » au « le dérèglement ne déçoit pas » les Veuves s’y réfèrent à plusieurs reprises et de façon très explicite. Elle a seulement changé d’aspect. Elle a basculé dans ces étranges « récits » sans intrigue ni héros où la nature, maître lieu des textes de jadis, a laissé place aux villes. Et quelles villes !


Dans l’Entretien qu’il vi...

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