Les auteurs de science-fiction présentent souvent les robots, et notamment l’intelligence artificielle (IA), comme une entité malintentionnée, qui se retourne contre ses concepteurs, et plus largement contre l’être humain[1]. Le « complexe de Frankenstein » (inventé par Isaac Asimov) renvoie à la peur des machines qui remplacerait l’humain, la technophobie en constituant la forme dérivée actuelle. Dans Victor, l’androïde amoureux, Renaud de Portzamparc, psychiatre psychanalyste, auteur d’un livre sur Antonin...
Peut-on éradiquer l’inconscient ?
Article publié dans le n°1249 (12 déc. 2022) de Quinzaines
Victor, l'androïde amoureux
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