En quelques dizaines de pages, superbement éditées par les éditions du Chemin de Fer (les traits et courbes bleus de l’artiste suisse Gilgian Gelzer donnant le tempo à la lecture des mouvements intérieurs de la pensée « en direct » du personnage), une conscience prend forme. Elle considère la guerre, le monde, le jour qu’il fait, et s’ouvre en grand à la possibilité d’un humanisme des besoins : c’est la vraie thèse de Dionys Mascolo, il en va de l’existence politique de l’homme total et nécessaire, homme de lettres et de passion positive, en un mot homme du « communisme de pensée » ; ce ...
Pour un humanisme des besoins
Article publié dans le n°1149 (16 avril 2016) de Quinzaines
Le coup de tête
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