Il s’agit de l’histoire de l’amour d’une femme entre Shanghai et la France. Ainsi, dans Spinoza in China, il y a quelque chose qui trouble le lecteur, une peur cachée : comme dans le film La Dame de Shanghai, quand Orson Welles écrit en images de cinéma tout l’amour qu’il voue à Rita Hayworth, la star d’Hollywood, et qu’il cherche à l’arracher à l’Amérique en donnant à son personnage de femme fatale les caractéristiques d’une violence extrême-orientale, chinoise et étrangère. Dans le roman de Perrin, il y a le monde entier qui se perd et ne gagne rien, et, au centre, su...
Spinoza lu en Chine par Ernesto
Article publié dans le n°1144 (01 févr. 2016) de Quinzaines
Spinoza in China
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)