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La camarde est une drôlesse sans cœur. Maurice Roche, qu’elle taraudait beaucoup, avait su la prendre avec humour dans Macabré ou Triumphe de Haulte Intelligence (Seuil,1979)et dans Camar(a)de (Arthaud, 1981). Mais c’est avec pincettes et dévotion que le musée de Strasbourg a choisi de l’accueillir en la flattant. Son exposition Dernière danse : L’imaginaire macabre dans les arts graphiques, qui se tient jusqu’au 29 août prochain, retrace l’histoir...

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