Si, comme le pense Jean-Pierre Siméon, La Poésie sauvera le monde, il faut parfois lui apporter un peu d’aide pour qu’elle remplisse son office. Sur ce point, le destin littéraire d’Henri Simon Faure, poète stéphanois décédé le 10 janvier 2015, est caractéristique. Ceux qui ont eu la chance de lire son grand poème « au mouton pourrissant dans les ruines d’oppède » le considèrent comme l’un des plus beaux morceaux de la littérature française du XXe siècle. L’effacement de son auteur ne pourra donc le masquer éternellement, mais il faudra militer franchement pour le his...
Henri Simon Faure, poète haute tension
Article publié dans le n°1152 (01 juin 2016) de Quinzaines
Henri Simon Faure dans sa maison, ruelle du Portalet à Oppède
(Du Lérot)
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