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Salut à Théâtre ouvert

 Pourquoi se consacrer aujourd’hui à Théâtre ouvert ? Parce que la relâche des établissements publics pendant les congés scolaires permet de combler – partiellement – une lacune : le peu de place accordée dans cette chronique à un centre dramatique national de création très actif, à cause d’une programmation plus centrée sur des événements ponctuels que sur des spectacles durablement représentés. 

Ainsi cette saison n’entrent dans cette dernière catégorie que Le Mardi à Monoprix d’Emmanuel Darley, mis en scène par Michel Didym, avec Jean-Claude Dreyfus dans une impressionnante performance, et Le Tigre bleu de l’Euphrate de Laurent Gaudé par le même Michel Didym avec Tchéky Kario (1).


Ce fonctionnement correspond à la spécificité d’un « théâtre d’essais et de création », qui deviendra « Centre national des dramaturgies contemporaines » en 2011. En même temps sera célébré le quarantième anniversaire de la création au Festival d’Avignon : Jean Vilar, mort en...

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