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Il y a bel et bien, inimitable et insistante, une musique-Prigent, que joue, fraîche et tenue, le trentième ouvrage du poète.
Christian Prigent
Les amours chino
(P.O.L.)

Pierre Boulez, au cours d’un entretien avec le musicologue Célestin Deliège analysant le métier du compositeur Jean-Philippe Rameau, utilisait les termes de carrures et d’assouplissements  (« souplesse des récitatifs »).  Il y a de cela dans la « musique » du poète Christian Prigent, quelque chose de carré et de souple.  Côté imagerie, la leçon principale est celle de Francis Ponge : le poète ne fait pas une image, il brûle des images.  Côté linguistique, un monstre et sa démonstration. 


Prigent est aujourd’hui à la tête d’une longue œuvre, d’a...

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