Pour Thomas Mann, d’ailleurs, le maître de l’impressionnisme allemand était surtout un Berlinois : « Ce que j’admire en Liebermann, dit-il un jour, c’est Berlin. » Berlinois, les Liebermann l’étaient depuis plus d’un siècle. Arrivés à Berlin de Prusse occidentale au début du XIXe siècle, ils eurent plus tard pignon sur rue, Pariser Platz, à côté de la porte de Brandebourg et à deux pas de l’Académie des beaux arts dont le peintre sera élu président, le 1er octobre 1920. Mais si Max Lieberman est une figure centrale de cet essai, il ne s’agit pas de sa biographie qui...
"Toute ma vie, j'ai cru être allemand"
Article publié dans le n°1058 (01 avril 2012) de Quinzaines
"Wir Sind die Liebermanns". Die Geschichte einer Famille (1)
(List)
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)