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« Tu n'as plus de chez toi »

Faire dialoguer le Midwest américain conservateur et l’Afrique de l’Est révolutionnaire, une Blanche et un Noir au rythme d’une idylle incertaine, tel est l’enjeu du roman émouvant et inquiet de Dinaw Mengestu, qui remue les tisons de l’identité et de l’exil sous le couvre-feu du vague à l’âme.
Dinaw Mengestu
Tous nos noms

À l’origine, l’Afrique – comme pour Mengestu, né en 1978 en Éthiopie, parti l’année suivante aux États-Unis – et une histoire d’amitié, fracassée par la guerre, qui lie deux jeunes gens idéalistes, deux « chiens errants » prêts à semer la révolution sur les campus. Deux sympathiques menteurs, bien sûr, pour mieux se faufiler et survivre, deux imposteurs, peut- être, et qui circulent sous de faux noms de résistance. D’emblée, le narrateur se défait de tous les noms donnés par ses parents lorsqu’il part faire des études en Ouganda, si bien qu’Isaac, son ami de rencontre, le surnomme « le P...

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