Tout commence dans l’enfance d’une petite fille qui grandit sans mère ; ce qui la berce avant de s’endormir, ce sont des cris d’oiseaux venus de la ménagerie voisine. Sa famille s’agrandit avec l’arrivée d’une belle-mère, de trois demi-sœurs et d’un demi-frère. Elle trouve du réconfort chez sa grand-mère maternelle, mais celle-ci meurt, provoquant la révolte de l’enfant : « “Ta grand-mère est partie au ciel.” Au ciel ? Quelle idiotie ! Mais elle est couchée dans sa chambre, Nati, allongée sur le lit, elle ne s’est pas envolée par la fenêtre, et puis, le boniment “...
Un silence peuplé de sons
Article publié dans le n°1090 (01 sept. 2013) de Quinzaines
Petites scènes capitales
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